jeudi 31 mai 2012

Synthèse Lycée De Baudre

Un lycée chargé d'histoire, adapté à son temps :
Lycée d'enseignement général et technologique, le lycée Jean-Baptiste de Baudre est situé au centre de la ville d'Agen où ses bâtiments majestueux des XVII° et XIX° siècles cohabitent harmonieusement avec des locaux modernes.
Du grand séminaire au lycée "de Baudre" :
Le lycée Jean-Baptiste de Baudre est né le 5 juin 1684, lors de la première pose de son édifice principal.
A cette époque, le séminaire d'Agen, l'un des quatre premiers de France, créé par les Lazaristes dès 1624, connaît un très grand succès.
L'évêque d'Agen, Jules Mascaron, décide de construire un bâtiment neuf pour ce séminaire.
Il le fait dans le quartier Porte-Neuve, c'est-à-dire au-delà des remparts, où les Lazaristes possèdent de grands terrains.
Ce premeir bâtiment, le plus majestueux, est transformé en prison à la Révolution, puis en caserne sous l'Empire.
Sous la Restauration, le grand séminaire est remis en fonction, sous l'autorité de l'évêque qui fait construire deux nouveaux bâtiments : une aile occidentale, entre 1826 et 1831, et une aile orientale en 1855.
Après la séparation de l'église et de l'état, cet ensemble est à nouveau affecté à l'armée, entre 1914 et 1918. Après la guerre, la municipalité, repoussant l'offre de rachat de l'évêché, y transfère l'Ecole Pratique de Commerce et d'Industrie.
La première rentrée a lieu la 1er novembre 1924. Cette école devient collège technique en 1953, puis lycée technique en 1960.
Aux bâtiments de caractère sont par la suiteajoutées des constructions nouvelles et fonctionnelles (gymnase, ateliers, salles de cours).
Rattaché au Conseil Régional d'Aquitaine après les lois de décentralisation de 1982, le lycée prend le nom de l'ingénieur De Baudre en 1982.


L'enseignement d'exploration de sciences économiques et sociales en classe de seconde permet aux élèves de découvrir de nouveaux champs disciplinaires et par la même d'enrichir leur culture générale.
Quels sont sont les intérêts que l'élève peut avoir à suivre ce nouvel enseignement?
– Tout d'abord , il assimilera des notions et des raisonnements lui assurant une meilleure lecture et compréhension de la société et de certaines questions d'actualité.
Cet enseignement participe donc à la formation du citoyen en éclairant ses choix.
– S'agissant de l'orientation, ce premier contact avec les Sciences économiques et sociale pourra aider l'élève dans son choix de filière en optant ou non pour une première ES. A noter que dans le cas ou l'élève abandonne cette matière certaines notions et savoir-faire pourront être réinvestis dans d'autres disciplines. (Histoire- géographie, philosophie ou français par exemple)
– Les acquis en économie et sociologie permettront à l'élève de poursuivre, éventuellement , en série Es et de prolonger cet enseignement au lycée en première et terminale mais aussi dans l'enseignement supérieur principalement en Economie et gestion, Droit , Sciences humaines et sociales , Institut d'études politiques , Classes préparatoires commerciales et Lettres -sciences sociales . Ces filières conduisant à des postes à responsabilités dans la fonction publique ou dans le secteur privé.

  • La démarche:
En partant de données concrètes fournies par des supports variés (Tableaux statistiques, graphiques, textes , documents audiovisuels études de cas...), on dressera un constat qui dans un second temps fera l'objet d'une analyse en mobilisant des notions et des outils appropriés et facilitant la compréhension du phénomène étudié.
Les élèves en amont du cours devront effectuer un travail de préparation en traitant des questions portant sur des documents de différentes natures ; cette démarche facilitera leur participation à l'élaboration d'une réflexion structurée lors des cours . A certains moments de l'année, les élèves pourront réaliser des exposés ou participer à des débats préparés afin de développer leur participation et implication à la dynamique de groupe . L'interactivité sera favorisée. Ils seront donc amenés à utiliser l'outil informatique pour traiter les informations ou
les collecter. Cette démarche participera au développement de l'autonomie de l'élève .
Des évaluations , notamment formatives, seront proposées aux élèves pour les aider à faire le point sur la maîtrise des connaissances ( notamment des savoir-faire ) et progresser.


  • Le programme comporte cinq thèmes d'exploration et 2 questions associées à chacun d'eux.
I. Ménages et consommation
Comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs ?
La consommation : un marqueur social ?

II. Entreprises et production
Qui produit des richesses ?
Comment produire et combienproduire ?

III. Marchés et prix
Comment se forment les prix sur un marché ?
La pollution : comment remédier aux limites du marché ?

IV. Formation et emploi
Le diplôme : un passeport pour l’emploi ?
Le chômage : des coûts salariaux trop élevés ou une insuffisance de la demande ?

V. Individus et cultures
Comment devenons-nous des acteurs sociaux ?
Comment expliquer les différences de pratiques culturelles ?

Les textes officiels

ENSEIGNEMENT D’EXPLORATION SES : Cet enseignement a pour objectif de donner à tous les élèves, qu’ils poursuivent ou non leurs études dans les séries ES ou STG, les éléments de base d’une culture économique et sociologique indispensables à la formation de tout citoyen qui veut comprendre le fonctionnement de l’économie et de la société dans laquelle il vit.

Cet enseignement repose sur l’exploration de différents thèmes subdivisés en une série de questions simples dont l’étude sera conduite en deux temps :
  1. Un temps de sensibilisation pour ancrer chaque question sur des données concrètes en partant de supports variés (jeux, études de cas, tableaux statistiques, graphiques, schémas, documents audiovisuels…)
  2. Un temps d’analyse pour montrer comment mobiliser des notions, des outils pour une meilleure compréhension des phénomènes étudiés.

Sciences et Laboratoire

Dans le cadre d’une démarche de projet, l'enseignement d'exploration Sciences et Laboratoire en classe de seconde permet de découvrir les capacités plus particulièrement mises en œuvre à travers des pratiques expérimentales en laboratoire :
Formuler ou s'approprier une problématique,
Proposer une stratégie pour répondre à la problématique,
Mettre en œuvre des activités expérimentales,
Analyser les résultats et valider une solution,
Présenter et partager ses travaux.
  • L’organisation :
Le quota horaire est de 1h30 par semaine, le choix au lycée De Baudre a été d’alterner une semaine physique-chimie et l’autre semaine SVT, les élèves sont amenés à découvrir l’apport conjoint de la Physique chimie et Sciences et vie de la terre, pour un même thème.
  • Les thèmes (trois au choix):
La géosphère
L’atmosphère terrestre
Utilsations des ressources de la nature
Les modes de vie
La prévention des pollutions et des risques
Les enjeux énergétiques contemporains
Premier thème abordé : les sucres (Thème utilisation des ressources de la nature)
En SVT :
Etude de la respiration et de la fermentation des micro-organismes
En sciences-physiques :
Extraction du sucre de la betterave sucrière
Analyse du sucre par chromatographie
Détermination du taux de sucre par différentes méthodes : mesures de densité, mesure d’indice de réfraction.
Présentation orale du travail effectué par chaque binôme.
  • Deuxième thème abordé : L’atmosphère terrestre
En SVT
En sciences-physiques :
La météo et le thème libre.
Troisième thème abordé : la géosphère
En SVT: Etude de cristaux


A partir de situations concrètes, les notions essentielles sont découvertes, afin de comprendre l’environnement économique dans lequel nous évoluons.
Cet enseignement à trois axes d’apprentissage :
  1. cartableAppréhender l’environnement économique et juridique, afin d’aider l’élève dans son orientation.
  2. Développer des compétences en matière de Technologies d’Information et de Communication, en continuité avec le B2I collège.
  3. Favoriser la prise de parole, l’argumentation, le débat se déroule entièrement sur poste informatique par groupe de 18 élèves maximum.

cleEn début d’année, une clé USB (4 Go) est offerte à chaque élève comprenant un « cartable » numérique.
Le « cartable » permet à l’élève de classer toutes ses productions numériques dans toutes les matières.

Il comprend un ensemble de logiciels, qui permettront d’utiliser le même environnement technologique aussi bien en classe qu’à la maison (Suite open office, mozilla firefox…)
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Les textes officiels

ENSEIGNEMENT D’EXPLORATION PFEG (PRINCIPES FONDAMENTAUX DE L’ECONOMIE ET DE LA GESTION) : Cet enseignement a pour objectif de permettre à l’élève de développer des capacités d’analyse de l’organisation économique et sociale, dans la perspective de formation d’un citoyen libre et responsable et ce, grâce à la compréhension de l’environnement économique et juridique et aux principes de fonctionnement des organisations, notamment de l’entreprise.

Cet enseignement repose sur l’exploration de différents thèmes caractéristiques de l’activité économique, lesquels permettront d’éclairer un ou plusieurs aspects fondamentaux de l’économie et des sciences de la gestion.

Chaque thème débutera par une phase d’observation de situations et/ou de phénomènes concrets, s’appuyant sur des outils numériques pour faciliter l’analyse et la conceptualisation.

L’utilisation des nouvelles technologies de la communication et de l’information (internet, production de diaporama…) facilitera l’apprentissage de l’élève.
  • LES DIFFERENTS THEMES
1- LES ACTEURS DE L’ECONOMIE : les acteurs économiques et leurs différentes opérations (consommation, épargne, production…) ; les relations entre les différents acteurs économiques (flux réels et flux monétaires) ; le rôle économique de l’Etat (producteur, régulateur, redistributeur) ; le rôle des banques

2- LES DECISIONS DE L’ENTREPRISE : ses partenaires internes (salariés, actionnaires…) et externes (fournisseurs, clients..) ; les différentes fonctions dans l’entreprise (production, distribution, ressources humaines…) ; la création de valeur ajoutée par la mobilisation de toutes ses ressources ; la stratégie d’entreprise pour lancer de nouveaux produits ou service ; la place de l’individu dans l’entreprise (gestion des ressources humaines : aspects administratifs, juridiques…)

3- LES NOUVEAUX ENJEUX ECONOMIQUES :* le consumérisme : de nouveaux comportements de consommation
* l’ouverture internationale : importation, exportation, inter-nationalisation des entreprises
* les enjeux de l’économie numérique : économie de la connaissance, droits de la propriété intellectuelle, opportunités de croissance avec le développement des nouvelles technologies de l’information et Internet (marché des jeux vidéos…)

Parmi ces 3 derniers thèmes, 2 seront traités et permettront à l’élève de mobiliser les notions évoqués précédemment. Le travail se fera sous forme d’atelier (travail en groupe) avec recours à l’outil informatique.


Sciences de l' Ingénieur, enseignement d’exploration de seconde, propose les thèmes suivants :

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  • L'enseignement d'exploration de seconde S.I. (Sciences de l’ingénieur) se déroule en groupes de 4 à 5 élèves.

Organisation Matériel
* 2 Études de cas et 1 Projet * 4 groupes de 4 à 5 élèves (18 élèves) * 10 séances de 1h30 (10 semaines) /étude * Documentation * Postes informatiques (recherches Internet) * Matériels de mesures

Les textes officiels

  • ENSEIGNEMENT D’EXPLORATION SI (SCIENCES DE L’INGENIEUR) : Cet enseignement a pour objectif de faire découvrir les relations entre la société et les technologies. Il s’agit de montrer en quoi les solutions technologiques sont liées à l’environnement socio-économique. Il permet l’analyse des systèmes, l’exploitation des modèles et l’initiation aux démarches de conception.

Cet enseignement s’appuie sur des études de cas portant sur

• Des produits et/ou des systèmes techniques conçus par l’Homme en réponse aux besoins de la société
• La recherche d’une solution à un problème technique menée dans le cadre d’une démarche de projet déclinant les différentes phases d’un développement ou d’une amélioration depuis la conception jusqu’à la matérialisation de la solution.

Les élèves sont conduits à réaliser, en équipe, une présentation numérique et collective. Des relations avec les entreprises et des professionnels ou experts sont vivement encouragées afin de faciliter la découverte concrète des métiers et formations associées aux fonctions de conception, de réalisation et d’innovation mises en œuvre par les entreprises.
  • LES DIFFERENTS THEMES
  1. APPROFONDIR LA CULTURE TECHNOLOGIQUE : caractériser les fonctions d’un système technique ; identifier les contraintes associées à une norme ou à une réglementation.
  2. REPRESENTER - COMMUNIQUER : analyser et représenter graphiquement une solution ; rendre compte sous forme écrite ou orale des résultats d’une analyse, d’une expérience, d’une recherche ou d’une réflexion.
  3. SIMULER, MESURER UN COMPORTEMENT : identifier un principe scientifique en rapport avec un comportement d’un système ; simuler le comportement

Au lycée Jean-Baptiste de Baudre

cit-vgn05L'enseignement d'exploration de seconde CIT (Création Innovation Technologique) se déroule en groupes de 4 à 5 élèves.
Les thèmes abordés liés au développement de produits innovants vont de l'étude de cas au projet.
cit-vgn04Les champs d'explorations choisis cette année sont, entre autres, l'aéronautique, les énergies de l'après pétrole, les transports terrestres.
organisation
* 2 Études de cas et 1 Projet
* 4 groupes de 4 à 5 élèves (18 élèves)
* 10 séances de 1h30 (10 semaines) /étude
Matériel :
* Documentation
* Postes informatiques (recherches Internet)
* Matériels de mesures

Les textes officiels


ENSEIGNEMENT D’EXPLORATION CIT : Les entreprises évoluant au sein d’un marché fortement concurrentiel, l’un des principaux enjeux est le développement de produits innovants. La créativité est donc une compétence très recherchée et sa complémentarité avec la maîtrise des savoirs et savoir-faire dans les domaines techniques est fondamentale dans le processus d’élaboration de solutions techniques adéquates.

Cet enseignement a pour objectif de confronter l’élève à des démarches permettant de favoriser l’innovation. Il propose donc une démarche de créativité indispensable pour favoriser l’émergence de solutions adaptées aux enjeux sociétaux, environnementaux et économiques.
  • LES DIFFERENTS THEMES
  1. ACQUERIR LES BASES D’UNE CULTURE DE L’INNOVATION TECHNOLOGIQUE : les principes qui régissent la propriété intellectuelle ; les étapes de l’évolution d’un produit, d’une solution technologique ; les contraintes réglementaires, environnementales et économiques ; les lois d’évolution de systèmes techniques, évolution des produits ou systèmes pour identifier une loi d’évolution technologique
  2. COMMUNIQUER SES INTENTIONS : les outils de communication technique « manuels » ou « numériques »
  3. METTRE EN ŒUVRE UNE DEMARCHE DE CREATIVITE : mise en activité des élèves (travail en équipe pour permettre les échanges et la prise en considération des propositions de chacun)


ois thèmes d'exploration ont été retenus pour l'année scolaire 2010/2011 :
  • litterature-01Ecrire pour changer le monde : l'écrivain et les grands débats de société
Les travaux menés autour de ce thème prendront notamment appui sur des oeuvres de Didier Daenincks et se concluront par la rencontre de l'auteur au salon du Polar de Bon-Encontre (mars 2011)
Une sortie théatre Ducourneau, pour assister à une représentation de la pièce "Voltaire Rousseeau", est également prévue.
  • litterature-02Parole publique : de l'agora au forum sur la toile
Les thèmes seront consacrés à la mise en voix, la mise en scène, dire des textes
Ces thèmes sont en lien avec le "Printemps des Poètes" qui se déroule du 7 au 20 mars 2011. Les travaux proposés : recherche, lecture, écriture, mise en voix de poèmes, conception de panneaux pour représenter la manifestation du CDI.
Des èlèves volontaires pourront également se rendre au CHD de Foulayronnes pour lire des poèmes aux patients.
  • litterature-03Image et langages : donner à voir, de faire entendre
Les travaux donnés s'articuleront autour du fait divers, source d'inspiration pour les écrivains et les cinéastes.
Les élèves qui suivront l'enseignement d'exploration "Littérature et Société" participeront à des sorties cinéma dans le cadre de l'opération "Lycéens et cinéma".

Les textes officiels

ENSEIGNEMENT D’EXPLORATION LITTERATURE ET SOCIETE : Cet enseignement a pour objectif de montrer aux élèves l’intérêt, l’utilité sociale et la diversité des débouchés d’une formation humaniste au sens large et moderne du terme.

On cherche pour cela à faire prendre conscience que les études littéraires sont, aujourd’hui plus que jamais, au cœur de la formation de l’homme et du citoyen.

Cet enseignement, structuré autour des Lettres et de l’Histoire-Géographie a un programme spécifique présenté sous forme de domaines d’exploration.

Deux ou trois thèmes d’exploration parmi les six proposés seront retenus. Des sujets d’étude propres à chaque thème seront traités. La mise en activité des élèves favorisera l’acquisition et l’exercice de certaines compétences propres aux études littéraires, et permettra la réalisation de productions (présentations orales, recherches documentaires, expositions, diaporamas…).



Au lycée Jean-Baptiste de Baudre

  • Les thèmes. Cette année, en concertation avec les élèves, nous avons choisi les thèmes suivants :
    • Science et vision du monde 1er thème
    • Science et investigation policière. 2ème thème
    • Science et cosmétologie 3ème thème (si le temps le permet)
  • L'organisation. Lors de ces multiples activités (recherches internet , discussions/débats, mise en place et réalisation d’expériences, réalisation de compte-rendu) les élèves sont amenés à découvrir l’apport conjoint des matières scientifiques de leur enseignement de seconde (Maths ,Physique, Sciences et vie de la terre, Sciences de l’ingénieur).
Le travail en commun des différents professeurs de ces disciplines est fortement sollicité.
Le travail avec les élèves est basé dans une démarche de projet. Les élèves sont ainsi impliqués dans la construction de leur projet.
L’élève, guidé par ses professeurs, doit acquérir les notions lui permettant de savoir :
• utiliser et compléter ses connaissances
• s’informer, rechercher et extraire de l’information.
• raisonner argumenter et pratiquer une démarche scientifique.
• communiquer à l’aide d’un langage et d’outils adaptés.
• développer son autonomie et son sens critique, dans le respect des autres.


Une section européenne au lycée Jean-Baptiste DE BAUDRE.
Il y a deux ans la rénovation du BTS Assistant de Manager a permis de sensibiliser l’ensemble des équipes éducatives du lycée à l’international. Depuis, une réelle politique d’ouverture sur l’Europe a été mise en place :

• envoi d’étudiants à l’étranger sous statut ERASMUS,
• accueil d’enseignant espagnol,
• accueil d’une délégation turque,
• voyages linguistiques en Grande Bretagne, Espagne et Etats Unis ( 5 séjours pour environ 200 élèves cette année).

classe_europ_pte02C’est dans le cadre de cette démarche que le lycée Jean-Baptiste DE BAUDRE propose une section européenne en Anglais depuis la rentrée dès la classe de seconde.

Les textes officiels

SECTION EUROPEENNE :

Ouverte à tous les élèves de secondes, l’entrée en section européenne sera conditionnée par les trois point suivants :

- Le projet personnel de l’élève et le choix d’orientation (BAC et POST BAC)
- Le niveau de langue et investissement dans la matière (Anglais).
- L’envoi d’une lettre de motivation

Une attention toute particulière sera portée pour les élèves provenant des classes européennes et des classes bi-langues des collèges du bassin et pour tous les élèves motivés se destinant à une carrière dans le tertiaire avec une dimension internationale.
  • Que fera t’on de plus en section européenne ?

En seconde, 1 h hebdomadaire en histoire géographie sera dispensée en anglais.

En 1ère et terminale STG, 2h hebdomadaires seront dispensées en Histoire géographie et Management.

A chaque niveau, le professeur d’anglais suivra de façon privilégier les élèves poursuivant ces enseignements.

Pour le BAC, les deux disciplines, histoire géographie et management, seront en partie composées en anglais et la réussite à ses épreuves permettra d’obtenir le BAC avec la mention « BAC Section européenne».

Les Métiers de l'armée

Défense, sécurité

Vous êtes intéressé par ce secteur ? Vous voulez connaître ses métiers ? Découvrez-les à travers nos fiches. Elles détaillent, en plus des principales missions quotidiennes et des qualités nécéssaires pour les exercer, le niveau d’études requis, les formations pour y accéder et le salaire moyen des débutants.

Malgré les coupes budgétaires, le secteur de la défense continue d’embaucher. Chaque armée mène régulièrement des grandes campagnes de recrutement, à l’image de la gendarmerie nationale ou de la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure). Les profils recherchés sont très variés et ouverts à tous les diplômes (des techniciens aéronautiques aux cuisiniers, en passant par les comptables). Mais face au développement du renseignement informatique, devenu une priorité stratégique, les candidats diplômés en télécoms, réseaux ou sécurité informatique sont particulièrement recherchés.

 Commissaire dans les armées

Secteur Défense, sécurité
Niveau d’études minimal Bac + 3 (1)
Bac conseillé ES, S
Alternance Non
Sélectivité des études Forte
Insertion professionnelle Bonne
Salaire débutant 1.600 € (2)
Rattaché à l’administration générale d’un régiment, d’une base aérienne, d’un navire, d’un état-major ou d’un service du ministère de la Défense, le commissaire des armées exerce des fonctions de direction dans l’administration, les finances, le conseil juridique et les ressources humaines.

Selon son affectation, il s’occupe des fournitures et des équipements, du logement, de la restauration, du recrutement, de la formation et de la reconversion. Il gère aussi les budgets et surveille les procédures comptables dont il est responsable devant le ministère. Le commissaire intervient sur le territoire national et pour les opérations extérieures.

Ses compétences :
gérer, administrer, organiser.

Sa formation :
le concours est commun aux trois armées. Il est accessible aux jeunes de moins de 26 ans, titulaires d’un bac + 3 (IEP, université, école de commerce ou d’ingénieurs).

Après le concours, les recrues choisissent leur armée pour suivre une formation de deux ans à l’École des commissaires de l’air, à Salon-de-Provence (13), l’École du commissariat de la marine, à Brest (56), ou l’École d’administration militaire, à Coëtquidan (56). Durant le cursus, quatre mois de formation sont communes aux trois corps.


(1) Hors période de formation.
(2) La solde nette indiquée ne tient pas compte des primes attribuées en fonction des spécialités, des contraintes de mobilité et de disponibilité, de la situation familiale…

Exploitant radio

Niveau diplôme minimal Salaire débutant brut moyen
Bac 1 100 €

Ce sous-officier est chargé d’installer et de garantir le bon fonctionnement de ces équipements informatiques et de communication, notamment pour des opérations extérieures.
Il garantit la protection des informations transmises par le réseau mis en place. Intervenant souvent en milieu hostile, il s’entraîne quotidiennement pour être prêt physiquement et moralement.

Ses compétences : polyvalent, réactif et solide.

Sa formation : huit mois de formation militaire à l'ENSOA (École nationale des sous-officiers d’active) de Saint-Maixent (79) suivis de seize semaines de spécialisation à l’ESAT (École supérieure d’application des transmissions) de Cesson-Sévigné (35).
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Fusilier marin

Secteur Défense, sécurité
Niveau d’études minimal Bac (1)
Bac conseillé Toutes séries
Alternance Non
Sélectivité des études Forte
Insertion professionnelle Bonne
Salaire débutant 1.100 € (2)
La mer est son terrain d’action. Le fusilier marin assure la surveillance et la protection des sites sensibles de la marine nationale. Bateaux, bases navales ou aéronavales, ports : lorsqu’il patrouille à terre, la mer n’est jamais bien loin ! À bord des bateaux, il est présent pour protéger le personnel contre toute attaque éventuelle.
En cours de carrière, le fusilier marin peut acquérir des qualifications complémentaires et se spécialiser dans un domaine : parachutisme, tir d’élite, maître-chien, etc. Ce corps d’armée, formé pour combattre en milieu aquatique, comprend également cinq unités de commandos de marine. Si la plupart des fusiliers rêvent de porter un jour le fameux béret vert, seuls 3 % y parviennent !

Ses compétences : protéger, surveiller, combattre.

Sa formation : à Brest (29), l’École de maistrance (ouverte aux titulaires du bac à bac + 3) dispense aux futurs officiers marins une formation générale de dix-huit semaines. Après sélection, les recrues rejoignent l’école des fusiliers marins, à Lorient (56), pour une spécialisation de cinq mois.

Recruté de la troisième au bac, le matelot fusilier suit, quant à lui, une formation initiale de cinq semaines, puis rejoint Lorient pour trois semaines.

(1) Hors période de formation.
(2) La solde nette indiquée ne tient pas compte des primes attribuées en fonction des spécialités, des contraintes de mobilité et de disponibilité, de la situation familiale…

Gendarme

Secteur Défense, sécurité
Niveau d’études minimal Bac (1)
Bac conseillé Toutes séries
Alternance Non
Sélectivité des études Forte
Insertion professionnelle Bonne
Salaire débutant 1.500 € (2)
En France, 100.000 militaires travaillent dans la gendarmerie nationale. Leurs affectations et leurs domaines d’intervention sont nombreux, mais leur but reste le même : assurer la protection des personnes et des biens.

Affectés à la sécurité publique, les gendarmes départementaux participent à des missions de secours, de contrôle, et peuvent intervenir dans le cadre d’enquêtes judiciaires.

Les gendarmes mobiles,
quant à eux, sont chargés du maintien de l’ordre public lors de grands événements : matchs, concerts, etc. Il existe également des unités de gendarmes spécialisés. Le GIGN (groupement d’intervention de la gendarmerie nationale) est certainement la plus connue.

Près de huit gendarmes sur dix sont sous-officiers.
Ils répondent aux ordres des officiers et sont secondés au quotidien par les gendarmes volontaires.

Ses compétences : secourir, défendre, analyser.

Sa formation :
pour devenir sous-officier de gendarmerie, il faut avoir entre 18 et 35 ans. À partir de la session 2012, le bac sera exigé pour se présenter aux épreuves de sélection. La formation, rémunérée, dure douze mois en école de gendarmerie.

L’École des officiers de la gendarmerie nationale, à Melun (77), est, elle, réservée aux titulaires d’un bac + 5. Son cursus dure deux ans.

Enfin, les gendarmes adjoints volontaires sont formés en treize semaines dans l’une des quatre écoles de gendarmerie. Douze semaines de stage en unité complètent la formation.

Quel que soit le niveau visé (sous-officier, officier, gendarme adjoint), l’accès à la formation est conditionné par la réussite à différents tests et épreuves physiques, réputés ardus. Plus d’infos sur le site de recrutement de la gendarmerie.


(1) Hors période de formation.

(2) La solde nette indiquée ne tient pas compte des primes attribuées en fonction des spécialités, des contraintes de mobilité et de disponibilité, de la situation familiale…

Médecin des armées

Secteur Défense, sécurité
Niveau d’études minimal Bac + 9
Bac conseillé S
Alternance Non
Sélectivité des études Forte
Insertion professionnelle Bonne
Salaire débutant 2.100 € (1)
Il exerce au sein d’une unité, d’un hôpital des armées ou en centre de recherche. Le médecin des armées intervient en France comme à l’étranger. Sur le terrain, lors d’opérations extérieures, il soigne les militaires blessés comme les civils, victimes des combats. En hôpital, il travaille dans l’un des neuf hôpitaux d’instruction des armées du pays, des établissements également ouverts au grand public.

Le plus souvent, ce professionnel de santé est spécialisé : médecin généraliste, chirurgien, cardiologue, anesthésiste…

Le service de santé des armées emploie également des chirurgiens-dentistes, des pharmaciens, des infirmiers, des masseurs-kinésithérapeutes, des biologistes… et même des vétérinaires, pour prendre soin des chiens et des chevaux de l’armée !

Ses compétences : soigner, aider, conseiller.

Sa formation : les médecins militaires, comme la plupart des autres personnels médicaux et paramédicaux des armées, sont recrutés sur titre (médecins diplômés d’État) ou sur concours. Le concours d’entrée à l’École de santé des armées (anciennement appelée École du service de santé des armées) est ouvert aux bacheliers et aux étudiants en PAES ou en deuxième année de médecine : il y a environ 1.800 candidats pour 140 places par an. Les études durent neuf ans au sein de l'université de médecine de Lyon (69).

Les infirmiers sont formés à l’EPPA (École du personnel paramédical des armées), à Toulon (83).


(1) La solde nette indiquée ne tient pas compte des primes attribuées en fonction des spécialités, des contraintes de mobilité et de disponibilité, de la situation familiale…

Militaire du rang

Secteur Défense, sécurité
Niveau d’études minimal CAP, brevet des collèges (1)
Bac conseillé -
Alternance Non
Sélectivité des études Moyenne
Insertion professionnelle Bonne
Salaire débutant 1.100 € (2)
Cuisinier, conducteur de grue, matelot, pilote de lance-roquettes, musicien, plongeur… Les trois armées regroupent des centaines de métiers ! Autant dire que le militaire du rang a l’embarras du choix. Ce professionnel de l’armée est avant tout un soldat, prêt à intervenir sur le terrain en cas de besoin.

Mais c’est aussi un technicien, spécialiste en son domaine. Solidaire de ses “frères d’arme” qu’il côtoie vingt-quatre heures sur vingt-quatre, il doit aimer la vie de groupe, la rigueur et l’autorité.

Ses compétences :
défendre, assister, secourir.

Sa formation : recruté après un CAP ou le diplôme national du brevet, le jeune soldat suit une formation militaire de quelques semaines, parfois complétée par une formation professionnelle courte.


(1) Hors période de formation.
(2) La solde nette indiquée ne tient pas compte des primes attribuées en fonction des spécialités, des contraintes de mobilité et de disponibilité, de la situation familiale…

Officier de l'armée

Secteur Défense, sécurité
Niveau d’études minimal Bac + 2 (1)
Bac conseillé Toutes séries
Alternance Non
Sélectivité des études Forte
Insertion professionnelle Bonne
Salaire débutant 1.700 € (2)
Sous cette appellation très générale, se cachent en réalité des centaines de métiers différents. Le grade d’officier est présent dans les trois armées : terre, mer et air. Il a un rôle d’encadrement et de soutien des troupes. Mais il reste avant tout un militaire de terrain, expert dans sa spécialité. Il peut être pilote de chasse, chef de peloton amphibie, officier de tir, capitaine de vaisseau… Ses responsabilités sont importantes. Sur le terrain, il commande, seul, son unité.
À côté de ces officiers de carrière, l’armée emploie aussi des OSC (officiers sous contrat), qui n’exercent pas un métier militaire à proprement parler. Diplômés de l’enseignement supérieur civil, les OSC s’engagent pour une durée variable selon leurs corps d'appartenance et occupent diverses fonctions : ressources humaines, gestion administrative et financière, informatique, etc.

Ses compétences : diriger, coordonner, combattre.

Sa formation : elle dure plusieurs mois ou plusieurs années selon l’armée, le métier visé et le niveau de recrutement. Elle a lieu dans différentes écoles militaires : l’ESM (École spéciale militaire) de Saint-Cyr (56), l’École de l’air de Salon-de-Provence (13), l’École navale de Lanvéoc-Poulmic (29)…


(1) Hors période de formation.
(2) La solde nette indiquée ne tient pas compte des primes attribuées en fonction des spécialités, des contraintes de mobilité et de disponibilité, de la situation familiale…

Officier du corps technique et administratif

Niveau diplôme minimal Salaire débutant brut moyen
Bac + 2 NC

De nombreux corps d’armée (terre, Marine, Délégation générale pour l’armement, Service des essences des armées, Service de santé des armées…) possèdent leurs OCTAA (officiers du corps technique et administratif de l’armement). Si le contenu de leur poste varie selon l’affectation, ces officiers remplissent principalement des tâches administratives.

Ses qualités : goût des responsabilités et du travail en équipe, dans un bureau uniquement.

Sa formation : le recrutement sur concours commun aux trois armées est ouvert aux moins de 30 ans, titulaires d’un bac + 2 (BTS, DUT, L2). Une fois admis, les futurs officiers suivent une formation de deux ou trois années, dont une consacrée à la spécialisation choisie.

Pilote dans l'armée de l'air


Niveau diplôme minimal Salaire débutant brut moyen
Bac + 2 à bac + 6 2 300 €

Le pilote de chasse accomplit des missions de reconnaissance des positions ennemies, de bombardement et de chasse (défense et couverture des autres appareils). En temps de paix, il apporte son soutien à l’aviation civile, et décolle dès qu’un avion non identifié apparaît sur les radars. Quant au pilote de transport ou d’hélicoptère, il se charge notamment de l’acheminement des troupes et du matériel.

Ses qualités : excellente condition physique et mentale, sang-froid.

Sa formation : la formation dure trois ans avec un passage par plusieurs écoles. La spécialisation "hélicoptère" se fait dès le départ, alors que le choix entre "chasse" et "transport" a lieu en cours de cursus. La durée minimale d’engagement est de huit ans à partir de l’obtention du brevet.

Pompier professionnel

Secteur Défense, sécurité
Niveau d’études minimal Brevet des collèges (1)
Bac conseillé Toutes séries
Alternance Non
Sélectivité des études Forte
Insertion professionnelle Bonne
Salaire débutant 1.400 € (2)
Ils font rêver, voire fantasmer ! Les pompiers professionnels représentent un élément essentiel de la sécurité civile. À toute heure du jour et de la nuit, ces “soldats du feu” partent en mission pour éteindre un incendie ou pour aider une personne en difficulté.

Quand ils ne sont pas sur le terrain, les pompiers participent à la vie de la caserne : entretien des locaux, entraînement, cours. Mais le métier a bien changé : les sorties sur un incendie sont de plus en plus rares et les missions consacrées aux services à la personne de plus en plus nombreuses.

Ses compétences : porter secours, assister, soigner.

Sa formation : le concours de pompier professionnel est organisé au niveau départemental par le SDIS (service départemental d’incendie et de secours). Les candidats doivent posséder le diplôme national du brevet (DNB, ex-brevet des collèges). Une fois reçus, ils sont inscrits sur une liste d’aptitude et choisissent leur affectation.

À Paris et à Marseille, les pompiers sont des militaires (armée de terre pour les premiers, marine pour les seconds). Après un concours national (de brevet à bac + 2), les recrues suivent une formation de huit mois.

Plus d’infos sur le site de l’armée de terre, des marins-pompiers de Marseille et du ministère de l’Intérieur.


(1) Hors période de formation.
(2) La solde nette indiquée ne tient pas compte des primes attribuées en fonction des spécialités, des contraintes de mobilité et de disponibilité, de la situation familiale…

Sous-officier

Secteur Défense, sécurité
Niveau d’études minimal Bac (1)
Bac conseillé Bac pro
Alternance Non
Sélectivité des études Forte
Insertion professionnelle Bonne
Salaire débutant 1.300 € (2)
Qu’il ait choisi d’exercer son métier dans l’armée de terre, la marine ou l’armée de l’air, le sous-officier est un militaire de terrain. Il travaille au cœur des troupes, pour diriger, encadrer et conseiller les militaires sur les opérations. Technicien chevronné, il est aussi spécialisé dans un domaine. Ainsi, il peut être contrôleur aérien, mécanicien, dessinateur-cartographe ou encore chef de char.
Pour répondre aux besoins de sa hiérarchie, il part régulièrement en opérations extérieures pendant plusieurs mois, pour des missions de dissuasion, de maintien de la paix ou d’assistance. D’abord caporal, le sous-officier peut progresser en grade : chaque année, près de la moitié des officiers nommés sont issus du corps des sous-officiers de carrière.

Ses compétences : former, encadrer, servir.

Sa formation : ouverte aux candidats de 18 à 25 ans (et de 17 à 24 ans pour l'armée de l’air), titulaires du bac et ayant réussi les tests de sélection, la formation se déroule sur plusieurs semaines dans les centres des différentes armées, comme l’École nationale des sous-officiers d’active à Saint-Maixent (79) pour l’armée de terre. Les futurs sous-officiers sont ensuite formés à leur spécialité pendant plusieurs mois.


(1) Hors période de formation.
(2) La solde nette indiquée ne tient pas compte des primes attribuées en fonction des spécialités, des contraintes de mobilité et de disponibilité, de la situation familiale…