Défense, sécurité
Vous êtes intéressé par ce
secteur ? Vous voulez connaître ses métiers ? Découvrez-les à travers
nos fiches. Elles détaillent, en plus des principales missions
quotidiennes et des qualités nécéssaires pour les exercer, le niveau
d’études requis, les formations pour y accéder et le salaire moyen des
débutants.
Malgré les coupes budgétaires, le secteur de la défense continue d’embaucher.
Chaque armée mène régulièrement des grandes campagnes de recrutement, à
l’image de la gendarmerie nationale ou de la DGSE (Direction générale
de la sécurité extérieure). Les profils recherchés sont très variés et ouverts à tous les diplômes
(des techniciens aéronautiques aux cuisiniers, en passant par les
comptables). Mais face au développement du renseignement informatique,
devenu une priorité stratégique, les candidats diplômés en télécoms,
réseaux ou sécurité informatique sont particulièrement recherchés.
Commissaire dans les armées
Secteur | Défense, sécurité |
Niveau d’études minimal | Bac + 3 (1) |
Bac conseillé | ES, S |
Alternance | Non |
Sélectivité des études | Forte |
Insertion professionnelle | Bonne |
Salaire débutant | 1.600 € (2) |
Rattaché à l’administration générale
d’un régiment, d’une base aérienne, d’un navire, d’un état-major ou d’un
service du ministère de la Défense, le
commissaire des armées exerce des fonctions de direction dans
l’administration, les finances, le conseil juridique et les ressources
humaines.
Selon son affectation, il s’occupe des fournitures et des équipements, du logement, de la restauration, du recrutement, de la formation et de la reconversion. Il gère aussi les budgets et surveille les procédures comptables dont il est responsable devant le ministère. Le commissaire intervient sur le territoire national et pour les opérations extérieures.
Selon son affectation, il s’occupe des fournitures et des équipements, du logement, de la restauration, du recrutement, de la formation et de la reconversion. Il gère aussi les budgets et surveille les procédures comptables dont il est responsable devant le ministère. Le commissaire intervient sur le territoire national et pour les opérations extérieures.
Ses compétences : gérer, administrer, organiser.
Sa formation : le concours est commun aux trois armées. Il est accessible aux jeunes de moins de 26 ans, titulaires d’un bac + 3 (IEP, université, école de commerce ou d’ingénieurs).
Après le concours, les recrues choisissent leur armée pour suivre une formation de deux ans à l’École des commissaires de l’air, à Salon-de-Provence (13), l’École du commissariat de la marine, à Brest (56), ou l’École d’administration militaire, à Coëtquidan (56). Durant le cursus, quatre mois de formation sont communes aux trois corps.
(1) Hors période de formation.
(2) La solde nette indiquée ne tient pas compte des primes attribuées en fonction des spécialités, des contraintes de mobilité et de disponibilité, de la situation familiale…
Exploitant radio
Niveau diplôme minimal | Salaire débutant brut moyen |
Bac | 1 100 € |
Ce sous-officier est chargé d’installer et de garantir le bon fonctionnement de ces équipements informatiques et de communication, notamment pour des opérations extérieures.
Il garantit la protection des informations transmises par le réseau mis en place. Intervenant souvent en milieu hostile, il s’entraîne quotidiennement pour être prêt physiquement et moralement.
Ses compétences : polyvalent, réactif et solide.
Sa formation : huit mois de formation militaire à l'ENSOA (École nationale des sous-officiers d’active) de Saint-Maixent (79) suivis de seize semaines de spécialisation à l’ESAT (École supérieure d’application des transmissions) de Cesson-Sévigné (35).
Il garantit la protection des informations transmises par le réseau mis en place. Intervenant souvent en milieu hostile, il s’entraîne quotidiennement pour être prêt physiquement et moralement.
Ses compétences : polyvalent, réactif et solide.
Sa formation : huit mois de formation militaire à l'ENSOA (École nationale des sous-officiers d’active) de Saint-Maixent (79) suivis de seize semaines de spécialisation à l’ESAT (École supérieure d’application des transmissions) de Cesson-Sévigné (35).
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Fusilier marin
Secteur | Défense, sécurité |
Niveau d’études minimal | Bac (1) |
Bac conseillé | Toutes séries |
Alternance | Non |
Sélectivité des études | Forte |
Insertion professionnelle | Bonne |
Salaire débutant | 1.100 € (2) |
La mer est son terrain d’action. Le fusilier marin assure la surveillance et la protection des sites sensibles de la marine nationale.
Bateaux, bases navales ou aéronavales, ports : lorsqu’il patrouille à
terre, la mer n’est jamais bien loin ! À bord des bateaux, il est
présent pour protéger le personnel contre toute attaque éventuelle.
En cours de carrière, le fusilier marin peut acquérir des qualifications complémentaires et se spécialiser
dans un domaine : parachutisme, tir d’élite, maître-chien, etc. Ce
corps d’armée, formé pour combattre en milieu aquatique, comprend
également cinq unités de commandos de marine. Si la plupart des fusiliers rêvent de porter un jour le fameux béret vert, seuls 3 % y parviennent !
Ses compétences : protéger, surveiller, combattre.
Sa formation : à Brest (29), l’École de maistrance (ouverte aux titulaires du bac à bac + 3) dispense aux futurs officiers marins une formation générale de dix-huit semaines. Après sélection, les recrues rejoignent l’école des fusiliers marins, à Lorient (56), pour une spécialisation de cinq mois.
Recruté de la troisième au bac, le matelot fusilier suit, quant à lui, une formation initiale de cinq semaines, puis rejoint Lorient pour trois semaines.
(1) Hors période de formation.
(2) La solde nette indiquée ne tient pas compte des primes attribuées en fonction des spécialités, des contraintes de mobilité et de disponibilité, de la situation familiale…
Ses compétences : protéger, surveiller, combattre.
Sa formation : à Brest (29), l’École de maistrance (ouverte aux titulaires du bac à bac + 3) dispense aux futurs officiers marins une formation générale de dix-huit semaines. Après sélection, les recrues rejoignent l’école des fusiliers marins, à Lorient (56), pour une spécialisation de cinq mois.
Recruté de la troisième au bac, le matelot fusilier suit, quant à lui, une formation initiale de cinq semaines, puis rejoint Lorient pour trois semaines.
(1) Hors période de formation.
(2) La solde nette indiquée ne tient pas compte des primes attribuées en fonction des spécialités, des contraintes de mobilité et de disponibilité, de la situation familiale…
Gendarme
Secteur | Défense, sécurité |
Niveau d’études minimal | Bac (1) |
Bac conseillé | Toutes séries |
Alternance | Non |
Sélectivité des études | Forte |
Insertion professionnelle | Bonne |
Salaire débutant | 1.500 € (2) |
En France, 100.000 militaires
travaillent dans la gendarmerie nationale. Leurs affectations et leurs
domaines d’intervention sont nombreux, mais leur but reste le même : assurer la protection des personnes et des biens.
Affectés à la sécurité publique, les gendarmes départementaux participent à des missions de secours, de contrôle, et peuvent intervenir dans le cadre d’enquêtes judiciaires.
Les gendarmes mobiles, quant à eux, sont chargés du maintien de l’ordre public lors de grands événements : matchs, concerts, etc. Il existe également des unités de gendarmes spécialisés. Le GIGN (groupement d’intervention de la gendarmerie nationale) est certainement la plus connue.
Près de huit gendarmes sur dix sont sous-officiers. Ils répondent aux ordres des officiers et sont secondés au quotidien par les gendarmes volontaires.
Affectés à la sécurité publique, les gendarmes départementaux participent à des missions de secours, de contrôle, et peuvent intervenir dans le cadre d’enquêtes judiciaires.
Les gendarmes mobiles, quant à eux, sont chargés du maintien de l’ordre public lors de grands événements : matchs, concerts, etc. Il existe également des unités de gendarmes spécialisés. Le GIGN (groupement d’intervention de la gendarmerie nationale) est certainement la plus connue.
Près de huit gendarmes sur dix sont sous-officiers. Ils répondent aux ordres des officiers et sont secondés au quotidien par les gendarmes volontaires.
Ses compétences : secourir, défendre, analyser.
Sa formation : pour devenir sous-officier de gendarmerie, il faut avoir entre 18 et 35 ans. À partir de la session 2012, le bac sera exigé pour se présenter aux épreuves de sélection. La formation, rémunérée, dure douze mois en école de gendarmerie.
L’École des officiers de la gendarmerie nationale, à Melun (77), est, elle, réservée aux titulaires d’un bac + 5. Son cursus dure deux ans.
Enfin, les gendarmes adjoints volontaires sont formés en treize semaines dans l’une des quatre écoles de gendarmerie. Douze semaines de stage en unité complètent la formation.
Quel que soit le niveau visé (sous-officier, officier, gendarme adjoint), l’accès à la formation est conditionné par la réussite à différents tests et épreuves physiques, réputés ardus. Plus d’infos sur le site de recrutement de la gendarmerie.
(1) Hors période de formation.
(2) La solde nette indiquée ne tient pas compte des primes attribuées en fonction des spécialités, des contraintes de mobilité et de disponibilité, de la situation familiale…
Médecin des armées
Secteur | Défense, sécurité |
Niveau d’études minimal | Bac + 9 |
Bac conseillé | S |
Alternance | Non |
Sélectivité des études | Forte |
Insertion professionnelle | Bonne |
Salaire débutant | 2.100 € (1) |
Il exerce au sein d’une unité, d’un
hôpital des armées ou en centre de recherche. Le médecin des armées
intervient en France comme à l’étranger. Sur le terrain, lors d’opérations extérieures, il soigne les militaires blessés comme les civils, victimes des combats. En hôpital, il travaille dans l’un des neuf hôpitaux d’instruction des armées du pays, des établissements également ouverts au grand public.
Le plus souvent, ce professionnel de santé est spécialisé : médecin généraliste, chirurgien, cardiologue, anesthésiste…
Le service de santé des armées emploie également des chirurgiens-dentistes, des pharmaciens, des infirmiers, des masseurs-kinésithérapeutes, des biologistes… et même des vétérinaires, pour prendre soin des chiens et des chevaux de l’armée !
Ses compétences : soigner, aider, conseiller.
Sa formation : les médecins militaires, comme la plupart des autres personnels médicaux et paramédicaux des armées, sont recrutés sur titre (médecins diplômés d’État) ou sur concours. Le concours d’entrée à l’École de santé des armées (anciennement appelée École du service de santé des armées) est ouvert aux bacheliers et aux étudiants en PAES ou en deuxième année de médecine : il y a environ 1.800 candidats pour 140 places par an. Les études durent neuf ans au sein de l'université de médecine de Lyon (69).
Les infirmiers sont formés à l’EPPA (École du personnel paramédical des armées), à Toulon (83).
(1) La solde nette indiquée ne tient pas compte des primes attribuées en fonction des spécialités, des contraintes de mobilité et de disponibilité, de la situation familiale…
Le service de santé des armées emploie également des chirurgiens-dentistes, des pharmaciens, des infirmiers, des masseurs-kinésithérapeutes, des biologistes… et même des vétérinaires, pour prendre soin des chiens et des chevaux de l’armée !
Ses compétences : soigner, aider, conseiller.
Sa formation : les médecins militaires, comme la plupart des autres personnels médicaux et paramédicaux des armées, sont recrutés sur titre (médecins diplômés d’État) ou sur concours. Le concours d’entrée à l’École de santé des armées (anciennement appelée École du service de santé des armées) est ouvert aux bacheliers et aux étudiants en PAES ou en deuxième année de médecine : il y a environ 1.800 candidats pour 140 places par an. Les études durent neuf ans au sein de l'université de médecine de Lyon (69).
Les infirmiers sont formés à l’EPPA (École du personnel paramédical des armées), à Toulon (83).
(1) La solde nette indiquée ne tient pas compte des primes attribuées en fonction des spécialités, des contraintes de mobilité et de disponibilité, de la situation familiale…
Militaire du rang
Secteur | Défense, sécurité |
Niveau d’études minimal | CAP, brevet des collèges (1) |
Bac conseillé | - |
Alternance | Non |
Sélectivité des études | Moyenne |
Insertion professionnelle | Bonne |
Salaire débutant | 1.100 € (2) |
Cuisinier, conducteur de grue, matelot, pilote de lance-roquettes, musicien, plongeur… Les trois armées regroupent des centaines de métiers ! Autant dire que le militaire du rang a l’embarras du choix. Ce professionnel de l’armée est avant tout un soldat, prêt à intervenir sur le terrain en cas de besoin.
Mais c’est aussi un technicien, spécialiste en son domaine. Solidaire de ses “frères d’arme” qu’il côtoie vingt-quatre heures sur vingt-quatre, il doit aimer la vie de groupe, la rigueur et l’autorité.
Ses compétences : défendre, assister, secourir.
Sa formation : recruté après un CAP ou le diplôme national du brevet, le jeune soldat suit une formation militaire de quelques semaines, parfois complétée par une formation professionnelle courte.
(1) Hors période de formation.
(2) La solde nette indiquée ne tient pas compte des primes attribuées en fonction des spécialités, des contraintes de mobilité et de disponibilité, de la situation familiale…
Officier de l'armée
Secteur | Défense, sécurité |
Niveau d’études minimal | Bac + 2 (1) |
Bac conseillé | Toutes séries |
Alternance | Non |
Sélectivité des études | Forte |
Insertion professionnelle | Bonne |
Salaire débutant | 1.700 € (2) |
Sous cette appellation très générale, se cachent en réalité des centaines de métiers différents. Le grade d’officier est présent dans les trois armées : terre, mer et air. Il a un rôle d’encadrement et de soutien des troupes.
Mais il reste avant tout un militaire de terrain, expert dans sa
spécialité. Il peut être pilote de chasse, chef de peloton amphibie,
officier de tir, capitaine de vaisseau… Ses responsabilités sont importantes. Sur le terrain, il commande, seul, son unité.
À côté de ces officiers de carrière, l’armée emploie aussi des OSC (officiers sous contrat), qui n’exercent pas un métier militaire à proprement parler. Diplômés de l’enseignement supérieur civil, les OSC s’engagent pour une durée variable selon leurs corps d'appartenance et occupent diverses fonctions : ressources humaines, gestion administrative et financière, informatique, etc.
Ses compétences : diriger, coordonner, combattre.
Sa formation : elle dure plusieurs mois ou plusieurs années selon l’armée, le métier visé et le niveau de recrutement. Elle a lieu dans différentes écoles militaires : l’ESM (École spéciale militaire) de Saint-Cyr (56), l’École de l’air de Salon-de-Provence (13), l’École navale de Lanvéoc-Poulmic (29)…
(1) Hors période de formation.
(2) La solde nette indiquée ne tient pas compte des primes attribuées en fonction des spécialités, des contraintes de mobilité et de disponibilité, de la situation familiale…
Ses compétences : diriger, coordonner, combattre.
Sa formation : elle dure plusieurs mois ou plusieurs années selon l’armée, le métier visé et le niveau de recrutement. Elle a lieu dans différentes écoles militaires : l’ESM (École spéciale militaire) de Saint-Cyr (56), l’École de l’air de Salon-de-Provence (13), l’École navale de Lanvéoc-Poulmic (29)…
(1) Hors période de formation.
(2) La solde nette indiquée ne tient pas compte des primes attribuées en fonction des spécialités, des contraintes de mobilité et de disponibilité, de la situation familiale…
Officier du corps technique et administratif
Niveau diplôme minimal | Salaire débutant brut moyen |
Bac + 2 | NC |
De nombreux corps d’armée (terre, Marine, Délégation générale pour l’armement, Service des essences des armées, Service de santé des armées…) possèdent leurs OCTAA (officiers du corps technique et administratif de l’armement). Si le contenu de leur poste varie selon l’affectation, ces officiers remplissent principalement des tâches administratives.
Ses qualités : goût des responsabilités et du travail en équipe, dans un bureau uniquement.
Sa formation : le recrutement sur concours commun aux trois armées est ouvert aux moins de 30 ans, titulaires d’un bac + 2 (BTS, DUT, L2). Une fois admis, les futurs officiers suivent une formation de deux ou trois années, dont une consacrée à la spécialisation choisie.
Pilote dans l'armée de l'air
Niveau diplôme minimal | Salaire débutant brut moyen |
Bac + 2 à bac + 6 | 2 300 € |
Le pilote de chasse accomplit des missions de reconnaissance
des positions ennemies, de bombardement et de chasse (défense et
couverture des autres appareils). En temps de paix, il apporte son
soutien à l’aviation civile, et décolle dès qu’un avion non identifié
apparaît sur les radars. Quant au pilote de transport ou d’hélicoptère,
il se charge notamment de l’acheminement des troupes et du matériel.
Ses qualités : excellente condition physique et mentale, sang-froid.
Sa formation : la formation dure trois ans avec un passage par plusieurs écoles. La spécialisation "hélicoptère" se fait dès le départ, alors que le choix entre "chasse" et "transport" a lieu en cours de cursus. La durée minimale d’engagement est de huit ans à partir de l’obtention du brevet.
Ses qualités : excellente condition physique et mentale, sang-froid.
Sa formation : la formation dure trois ans avec un passage par plusieurs écoles. La spécialisation "hélicoptère" se fait dès le départ, alors que le choix entre "chasse" et "transport" a lieu en cours de cursus. La durée minimale d’engagement est de huit ans à partir de l’obtention du brevet.
Pompier professionnel
Secteur | Défense, sécurité |
Niveau d’études minimal | Brevet des collèges (1) |
Bac conseillé | Toutes séries |
Alternance | Non |
Sélectivité des études | Forte |
Insertion professionnelle | Bonne |
Salaire débutant | 1.400 € (2) |
Ils font rêver, voire fantasmer ! Les
pompiers professionnels représentent un élément essentiel de la sécurité
civile. À toute heure du jour et de la nuit, ces “soldats du feu” partent en mission pour éteindre un incendie ou pour aider une personne en difficulté.
Quand ils ne sont pas sur le terrain, les pompiers participent à la vie de la caserne : entretien des locaux, entraînement, cours. Mais le métier a bien changé : les sorties sur un incendie sont de plus en plus rares et les missions consacrées aux services à la personne de plus en plus nombreuses.
Quand ils ne sont pas sur le terrain, les pompiers participent à la vie de la caserne : entretien des locaux, entraînement, cours. Mais le métier a bien changé : les sorties sur un incendie sont de plus en plus rares et les missions consacrées aux services à la personne de plus en plus nombreuses.
Ses compétences : porter secours, assister, soigner.
Sa formation : le concours de pompier professionnel est organisé au niveau départemental par le SDIS (service départemental d’incendie et de secours). Les candidats doivent posséder le diplôme national du brevet (DNB, ex-brevet des collèges). Une fois reçus, ils sont inscrits sur une liste d’aptitude et choisissent leur affectation.
À Paris et à Marseille, les pompiers sont des militaires (armée de terre pour les premiers, marine pour les seconds). Après un concours national (de brevet à bac + 2), les recrues suivent une formation de huit mois.
Plus d’infos sur le site de l’armée de terre, des marins-pompiers de Marseille et du ministère de l’Intérieur.
(1) Hors période de formation.
(2) La solde nette indiquée ne tient pas compte des primes attribuées en fonction des spécialités, des contraintes de mobilité et de disponibilité, de la situation familiale…
Sous-officier
Secteur | Défense, sécurité |
Niveau d’études minimal | Bac (1) |
Bac conseillé | Bac pro |
Alternance | Non |
Sélectivité des études | Forte |
Insertion professionnelle | Bonne |
Salaire débutant | 1.300 € (2) |
Qu’il ait choisi d’exercer son métier
dans l’armée de terre, la marine ou l’armée de l’air, le sous-officier
est un militaire de terrain. Il travaille au cœur des troupes, pour diriger, encadrer et conseiller les militaires sur les opérations. Technicien chevronné, il est aussi spécialisé dans un domaine. Ainsi, il peut être contrôleur aérien, mécanicien, dessinateur-cartographe ou encore chef de char.
Pour répondre aux besoins de sa hiérarchie, il part régulièrement en opérations extérieures pendant plusieurs mois, pour des missions de dissuasion, de maintien de la paix ou d’assistance. D’abord caporal, le sous-officier peut progresser en grade : chaque année, près de la moitié des officiers nommés sont issus du corps des sous-officiers de carrière.
Ses compétences : former, encadrer, servir.
Sa formation : ouverte aux candidats de 18 à 25 ans (et de 17 à 24 ans pour l'armée de l’air), titulaires du bac et ayant réussi les tests de sélection, la formation se déroule sur plusieurs semaines dans les centres des différentes armées, comme l’École nationale des sous-officiers d’active à Saint-Maixent (79) pour l’armée de terre. Les futurs sous-officiers sont ensuite formés à leur spécialité pendant plusieurs mois.
(1) Hors période de formation.
(2) La solde nette indiquée ne tient pas compte des primes attribuées en fonction des spécialités, des contraintes de mobilité et de disponibilité, de la situation familiale…
Ses compétences : former, encadrer, servir.
Sa formation : ouverte aux candidats de 18 à 25 ans (et de 17 à 24 ans pour l'armée de l’air), titulaires du bac et ayant réussi les tests de sélection, la formation se déroule sur plusieurs semaines dans les centres des différentes armées, comme l’École nationale des sous-officiers d’active à Saint-Maixent (79) pour l’armée de terre. Les futurs sous-officiers sont ensuite formés à leur spécialité pendant plusieurs mois.
(1) Hors période de formation.
(2) La solde nette indiquée ne tient pas compte des primes attribuées en fonction des spécialités, des contraintes de mobilité et de disponibilité, de la situation familiale…
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