lundi 23 janvier 2012
Visite de la maison de retraite à Pompeyrie
Nous nous sommes rendu en bus à la maison de retraite de Pompeyrie où nous avons étaient accueillit par une animatrice.Elle nous à parler de son métier,nous à expliquer que ce n'était pas toujours facile.Qu'il fallait être patient car certains résident étaient atteint de la maladie d'Alzheimer donc il faut plusieurs fois leur répéter la même chose.Quelque fois les animatrices organisent des activités,font parfois venir des enfants d'une maternelle pas loin de la maison de retraite .En moyenne une animatrice touche 1300€ en début de carrière et 2500€ en fin de carrière.
lundi 16 janvier 2012
Lycée Professionnel Jacques de Romas
Année après année, le lycée professionnel Jacques de Romas s’est construit une image très positive auprès des élèves du département de LOT et GARONNE, et même au-delà, illustrée par le fort taux de pression exercée par la demande d’admission dans les diverses formations proposées et que légitime un taux de réussite aux examens supérieur aux taux départemental et académique (100% pour 5 diplômes et entre 80% et 87,5% pour les 4 autres).
Elle s’explique aussi par la forte implication des équipes pédagogiques qui, en outre, ont su tisser des liens solides et durables avec un ensemble de partenaires professionnels des secteurs d’activité concernés : l’hôtellerie-restauration et les métiers des services à la personne.
L’offre de formation du lycée s’articule autour de ces deux pôles d’activité avec les deux niveaux d’accès à un diplôme qui résultent de la réforme de la voie professionnelle et de la généralisation du Bac Pro 3 ans :
- le CAP (Cuisine et Restaurant)
- le Bac Pro 3 ans (Restauration, Sanitaire et Social Option Sanitaire, Services de Proximité et Vie Locale)
L’existence d’un Bac Pro Restauration Européen permet aux élèves qui en ont la volonté et les compétences d’intégrer un cursus au cours duquel ils auront la possibilité d’effectuer des périodes de formation en entreprise à l’étranger et ainsi, d’acquérir une maîtrise supérieure de la langue vivante concernée (anglais ou espagnol) et d’avoir des opportunités supplémentaires de carrière professionnelle à l’étranger.
Enfin, la labellisation “Lycée des métiers” acquise en 2009 assigne au lycée une vocation à préparer des publics variés (élèves, apprentis, adultes) à acquérir des diplômes ou suivre des formations diversifiés (du CAP au BTS).
Au-delà de notre mission pédagogique qui, outre les cours, se décline aussi au-travers de nombreux projets, notre autre mission, d’une égale noblesse, consiste à contribuer à ce que nos élèves deviennent des adultes responsables, matures, pour qui les notions de respect mutuel, de différence, de tolérance et d’ouverture à l’autre auront du sens.
Nous y travaillons en y associant les élèves via leurs différentes représentations et, singulièrement, les internes (plus d’1 élève sur 2) qui doivent bénéficier de bonnes conditions d’accueil pour que leur semaine au lycée soit profitable et agréable.
La taille humaine de notre établissement, son cadre verdoyant, son système de relations simples, directes, entre adultes et élèves, sont autant d’atouts pour qu’il fasse bon vivre et étudier au lycée professionnel Jacques de Romas.
Dernièrement, le lycée technique hôtelier Jacques-de-Romas à Nérac a organisé une soirée destinée à mettre en valeur des vins locaux et des vins de Gascogne. Étaient représentés les vignobles de Buzet, les côtes du marmandais, les côtes de Duras et les vins du Brulhois. La classe de terminale bac pro hôtellerie avait pris en charge la restauration d'une trentaine de convives, avec les conseils de leurs professeurs, Claude Euvrard pour la sommellerie et le service et Christian Faure pour la cuisine. Il s'agissait d'obtenir le meilleur accord entre les différents vins et le menu spécifique proposé. Le Baron d'Ardeuil blanc s'est distingué pour les entrées et les poissons bien moins connu que le Baron d'Ardeuil rouge, il mérite toute l'attention en proposition de choix. Le Duc de Gueyze rouge a tiré son épingle du jeu en accompagnant le magret de canard. Le lycée Jacques-de-Romas, en partenariat avec la cave coopérative des vignerons de Buzet, contribue ainsi à renforcer le lien entre les producteurs, les restaurateurs et les consommateurs. Il met aussi en valeur la qualité de la cave coopérative des vins de Buzet inscrites aux normes ISO 9001 et 14001 concernant le respect de l'environnement.jeudi 12 janvier 2012
RADIOLOGUE
Le métier de radiologue consiste à analyser des images obtenues à partir de l’imagerie médicale (rayons X, ultrasons, scanners...) en fonction des informations transmises par le médecin généraliste ou par tout autre spécialiste qui lui adresse le patient et à en rédiger le compte rendu. Son objectif est de déceler des signes de fractures ou de maladies, comme une tumeur ou une infection pulmonaire. C’est également le radiologue qui effectue les échographies, les infiltrations nerveuses. A partir de l’imagerie médicale, le radiologue préconise un traitement et contrôle son efficacité. Il est assisté par un ou plusieurs manipulateurs en électroradiologie ou techniciens en imagerie médicale.
Un radiologue travaille soit en libéral, soit comme salarié dans un hôpital, un organisme public d’Etat, une association d’organisme de recherche comme l’INSERM (Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale), ou encore dans une entreprise comme dans l’industrie pharmaceutique. Les horaires sont irréguliers et comportent des périodes d’astreintes.
Ses qualités : Un radiologue doit être rigoureux, précis et organisé. Il doit avoir le sens de l’observation et de l’analyse. Par ailleurs, il doit être doté de bonnes qualités relationnelles : diplomatie, pédagogie et tact sont des qualités indispensables pour exercer le métier de radiologue.
Les débouchés : La France manque de radiologues, les perspectives de recrutement sont donc favorables. Avec de l’expérience, le radiologue peut intégrer le pôle recherche d’un l’hôpital, d’un des grands organismes de recherche, à l’université ou dans l’industrie. Il peut participer à la conception et à la mise en œuvre de programmes de santé publique et peut accéder à des postes d’enseignement au sein d’un CHU.
Sa formation : Pour devenir radiologue, un bac S est vivement recommandé.
Après ton bac, il faudra suivre des études médicales composées de 3 cycles :
1er cycle en 2 ans :
PACES (Première année commune des études de santé), appelée aussi L1 santé (anciennement PCEM1) : en début d’année, tu choisiras le ou les concours que tu souhaites passer. La fin de la première année est sanctionnée par un concours sélectif : seuls 15 % environ des étudiants sont reçus (ce taux varie selon les universités) et, parmi eux, au moins une moitié de redoublants !
2e année ou L2 santé : tu effectueras un stage infirmier de quatre semaines à l’hôpital puis, tu y passeras une après-midi par semaine.
2ème cycle en 4 ans : Le 2nd cycle est composé d’enseignements théoriques et pratiques sur la pathologie, la thérapeutique, la prévention. Pour accéder en 3e cycle, il te faudra valider la formation théorique, les stages hospitaliers et le stage auprès d’un généraliste et obtenir le certificat de synthèse clinique et thérapeutique. Au bout de la 6ème année, tu passes l’examen classant national (ECN), qui te permet de te spécialiser en radiologie (en fonction de ta réussite à ces examens et de ton classement).
3ème cycle en 4 ans : La formation de spécialiste en radiologie s’obtient au cours du 3ème cycle, par un DES (diplôme d’études spécialisé). Après le DES et une soutenance de thèse devant un jury, tu obtiendras le diplôme d’Etat de docteur en médecine.
Son salaire : Le salaire du radiologue dépend de son mode d’exercice (hôpital, cabinet privé...). Un radiologue débutant et salarié peut espérer gagner 4 000 euros bruts par mois.
Le métier de radiologue consiste à analyser des images obtenues à partir de l’imagerie médicale (rayons X, ultrasons, scanners...) en fonction des informations transmises par le médecin généraliste ou par tout autre spécialiste qui lui adresse le patient et à en rédiger le compte rendu. Son objectif est de déceler des signes de fractures ou de maladies, comme une tumeur ou une infection pulmonaire. C’est également le radiologue qui effectue les échographies, les infiltrations nerveuses. A partir de l’imagerie médicale, le radiologue préconise un traitement et contrôle son efficacité. Il est assisté par un ou plusieurs manipulateurs en électroradiologie ou techniciens en imagerie médicale.
Un radiologue travaille soit en libéral, soit comme salarié dans un hôpital, un organisme public d’Etat, une association d’organisme de recherche comme l’INSERM (Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale), ou encore dans une entreprise comme dans l’industrie pharmaceutique. Les horaires sont irréguliers et comportent des périodes d’astreintes.
Ses qualités : Un radiologue doit être rigoureux, précis et organisé. Il doit avoir le sens de l’observation et de l’analyse. Par ailleurs, il doit être doté de bonnes qualités relationnelles : diplomatie, pédagogie et tact sont des qualités indispensables pour exercer le métier de radiologue.
Les débouchés : La France manque de radiologues, les perspectives de recrutement sont donc favorables. Avec de l’expérience, le radiologue peut intégrer le pôle recherche d’un l’hôpital, d’un des grands organismes de recherche, à l’université ou dans l’industrie. Il peut participer à la conception et à la mise en œuvre de programmes de santé publique et peut accéder à des postes d’enseignement au sein d’un CHU.
Après ton bac, il faudra suivre des études médicales composées de 3 cycles :
1er cycle en 2 ans :
2ème cycle en 4 ans : Le 2nd cycle est composé d’enseignements théoriques et pratiques sur la pathologie, la thérapeutique, la prévention. Pour accéder en 3e cycle, il te faudra valider la formation théorique, les stages hospitaliers et le stage auprès d’un généraliste et obtenir le certificat de synthèse clinique et thérapeutique. Au bout de la 6ème année, tu passes l’examen classant national (ECN), qui te permet de te spécialiser en radiologie (en fonction de ta réussite à ces examens et de ton classement).
3ème cycle en 4 ans : La formation de spécialiste en radiologie s’obtient au cours du 3ème cycle, par un DES (diplôme d’études spécialisé). Après le DES et une soutenance de thèse devant un jury, tu obtiendras le diplôme d’Etat de docteur en médecine.
Son salaire : Le salaire du radiologue dépend de son mode d’exercice (hôpital, cabinet privé...). Un radiologue débutant et salarié peut espérer gagner 4 000 euros bruts par mois.
Fiche métier d'un dentiste
Dentiste
En quoi cela consiste ?
Le chirurgien-dentiste soigne les dents, mais aussi la bouche et les gencives. Il soulage les douleurs, soigne les abcès et les caries, répare les dents, pose des prothèses et redonne le sourire ! Le dentiste doit faire preuve d’écoute et de psychologie, mais aussi d'une grande habileté technique.Quel diplôme faut-il ?
Le diplôme de chirurgien-dentiste s'obtient après 5 à 7 ans d'études d’odontologie. Ces études commencent après un concours passé à l'issue d'une première année d'études médicales.Quelles matières faut-il travailler ?
Les sciences : maths, biologie, physique.e 1er cycle Le premier cycle d'études s'étale sur une durée de deux ans, dont la première année vise à acquérir les connaissances de base, faisant partie des sciences naturelles. Avant d'entreprendre la deuxième année, il faut d'abord réussir un examen qualifié de très difficile. Il importe de spécifier qu'en cas d'échec, cet examen ne peut être repassé qu'une seule fois. La deuxième année sert plutôt à assimiler certaines connaissances dentaires de base, telles que l'anatomie des dents par exemple.
Le 2e cycle
Le deuxième cycle d'études se fait sur une durée de trois ans, dont la première année permet d'approfondir les connaissances acquises lors du premier cycle. Quant aux deuxième et troisième années, les études varient entre les cours théoriques et la pratique, dont un stage qui devra être fait dans un cabinet. Avant d'être admis au troisième cycle, l'étudiant doit avoir obtenu un certificat de synthèse, tant clinique que théorique.
Le 3e cycle
Le troisième cycle est le plus court, car il ne dure qu'une année, et il se veut une préparation à l'exercice de la profession de dentiste. Il comporte également des stages dans différents domaines. Lorsque les six années d'études sont complétées, les aspirants dentistes doivent alors rédiger une thèse de doctorat.
Fiches métiers d'un ophtalmologue
Ophtalmologue
Secteur | Médical |
Niveau d’études minimal | Bac + 11 |
Bac conseillé | S |
Alternance | Non |
Sélectivité des études | Forte |
Insertion professionnelle | Bonne |
Salaire débutant | 3.800 € (1) |
L’ophtalmologie attire de moins en moins les étudiants. Pourtant, il s’agit d’une spécialité très riche, qui va bien au-delà de la prescription de collyres et de verres correcteurs… ! En effet, l’œil est le révélateur de plusieurs maladies (diabète, hypertension, maladies infectieuses…) : la veille médicale de l’ophtalmologue est donc primordiale pour une prise en charge rapide et efficace des pathologies.
Il effectue aussi des tâches plus techniques de mesures et des calculs avec différents appareils électroniques. Ce métier exige donc des connaissances pointues dans diverses spécialités (traumatologie, neurologie, diabétologie…). L’ophtalmologue est aussi appelé ophtalmologiste ou oculiste.
Ses compétences : prévenir, diagnostiquer, soigner.
Sa formation : 6 années d’études généralistes, puis l'ECN (examen classant national) qui permet d’accéder aux 5 années de spécialisation de l’internat.
(1) Salaire brut d’un praticien hospitalier débutant. Les salaires en libéral sont généralement plus élevés.
Fiche métier d'un chirurgien dentiste
chirurgien(ne)-dentiste
Des soins médicaux aux actes de chirurgie, le chirurgien-dentiste traite les maladies des dents, des gencives et des mâchoires. En plus de ses compétences médicales, ce professionnel doit faire preuve d'une certaine dextérité.
- Niveau d'accès : bac + 6
- Salaire débutant : 2500 €
- Statut(s) : Libéral, Statut salarié
- Synonymes : Dentiste
Le dentiste soigne les dents, les gencives et les mâchoires. Il pose un diagnostic, effectue des radiographies, réalise les soins, prescrit des médicaments.
Chirurgien-dentiste, il peut extraire des dents de sagesse, consolider des dents avec des couronnes, poser des prothèses complètes... Un travail de précision qui ne doit occasionner aucune gêne pour le patient.
Des opérations délicates
Ce professionnel peut mener des interventions chirurgicales importantes et délicates, directement dans son cabinet ou à l'hôpital. Par exemple, il peut réparer une fracture de la mâchoire, réaliser une greffe osseuse ou de gencive lorsque les dents se déchaussent...
Conseils et prévention
Donner des conseils en matière d'hygiène bucco-dentaire ou d'alimentation fait aussi partie du rôle du chirurgien-dentiste. On peut s'adresser à lui en prévention, pour des visites de contrôle ou pour effectuer un détartrage destiné à diminuer les risques de problèmes dentaires.
Compétences requises
Rassurer avant de soignerLes soins sont parfois douloureux et la peur de la roulette bien présente. Dans ces cas, au chirurgien-dentiste d'user de psychologie pour rassurer ses patients et exécuter les soins sans stress !
Être habile et précis
Le métier est physiquement délicat en raison de la position de travail (les bras tendus, parfois debout ou assis). L'effort d'attention est aussi permanent. Un chirurgien-dentiste possède des compétences médicales pointues. Sans oublier des gestes précis et une grande habileté manuelle pour éviter de faire mal au patient !
S'adapter en permanence
Comme pour toute discipline médicale, un bon niveau en sciences est requis. Mais la curiosité et l'envie d'approfondir ses compétences sont des atouts importants dans cette profession. De nombreux dentistes continuent en effet à se former pendant leur activité, en chirurgie buccale, en parodontologie... Ils doivent aussi s'adapter à l'évolution des techniques et des appareils de soins.
Entre 6 et 8 années d'études sont nécessaires aux bacheliers scientifiques pour obtenir le diplôme d'État de docteur en chirurgie dentaire. À l'issue de la 1re année commune aux études de santé, un concours très sélectif permet de poursuivre ou non sa formation.
Diplôme d'État de docteur en chirurgie dentaire : la formation comprend un premier cycle d'études médicales (PCEM) de 2 ans. Puis, un 2e cycle de 3 ans et, enfin, un 3e cycle de 1 à 3 ans selon la spécialisation retenue (odontologie hospitalière, chirurgie buccale, orthodontie). À noter : dans certaines facultés, l'étudiant doit, dès la 2e année, se procurer les instruments nécessaires à certains travaux pratiques. Cette acquisition coûte entre 1 500 et 3 800 euros.
Fiche métiers d'un médecin généraliste
médecin généraliste
La médecine généraliste, paradoxalement, est devenue une spécialité. Elle traite toutes les maladies par des soins appropriés et des actions de prévention.
- Niveau d'accès : bac + 9 et plus
- Salaire débutant : 3000 €
- Statut(s) : Statut fonctionnaire, Libéral, Militaire, Statut salarié
- Synonymes : Docteur en médecine
- Secteur(s) professionnel(s) : Fonction publique,
Santé - Social - Bien-être
iagnostic et traitement Dans son cabinet ou en visite à domicile, le médecin généraliste instaure avec son patient une relation de confiance, grâce à son écoute et sa disponibilité. Cette bienveillance lui permet de l'interroger longuement sur les symptômes avant de l'ausculter et de poser un diagnostic. Une fois le bilan effectué, le praticien prescrit des médicaments (en donnant des explications sur leurs effets) ou des examens complémentaires (analyses de sang, radiographie...).
Prise en charge et suivi
Myopathie, grippe ou entorse... le médecin a pour vocation de tout soigner. La prévention constitue un de ses axes prioritaires. Bilan de santé, dépistage, vaccinations... la prise en charge du patient est assurée dans sa globalité. Dans certains cas, le généraliste peut pratiquer des actes de petite chirurgie, de gynécologie, de pédiatrie...
Compétences requises
Une endurance à toute épreuve
Outre ses compétences médicales, le médecin généraliste possède des capacités d'endurance, aussi bien physiques que psychiques. Face à des pathologies (maladies) particulières et difficiles à vivre par le patient, il doit aussi faire preuve de tolérance, de compréhension et de tact.
Un sacerdoce médical
Les spécialistes de la santé sont avant tout des praticiens humanistes capables d'établir des relations de confiance avec leurs malades.
Soucieux du bien-être des autres et passionné par son métier, ce praticien fait souvent preuve d'une très grande disponibilité. Sauf exceptions (actes de violence, épidémies...), il sait rester discret vis-à-vis de l'état de santé de ses patients. Disponibilité, équilibre personnel et sens de l'observation sont les qualités indispensables à cette profession.
9 ans sont nécessaires pour former un médecin généraliste avant de prononcer le serment d'Hippocrate. Des études longues, organisées en 3 cycles, et qui débouchent sur le diplôme d'État de docteur en médecine, délivré à l'issue de la soutenance d'une thèse.
- 1ercycle d'études médicales (PCEM) : accessible après le bac (la filière scientifique est recommandée). Le PCEM dure 2 ans. Il commence par la première année commune aux études de santé, à l'issue de laquelle les étudiants passent un concours au nombre de places restreint (le numerus clausus).
- 2ecycle d'études médicales (DCEM) : il dure 4 ans et forme à ce qu'on appelle traditionnellement l'externat.
- 3ecycle d'études médicales : le choix de la spécialité et/ou de la région où l'étudiant effectuera son internat dépend de ses résultats et de son rang de classement lors des épreuves nationales classantes (ENC) à la fin de la 6e année (DCEM4). La thèse est soutenue à la fin de l'internat qui dure 3 ans. Elle débouche sur le diplôme d'État de docteur en médecine.
Fiche métier d'un infirmier/infirmière
infirmier(ière)
L'infirmier soigne les malades et veille à leur bien-être. Ce métier à haute responsabilité exige rigueur, vigilance et technicité. À l'hôpital, en entreprise ou en libéral, toutes les formules offrent d'excellents débouchés professionnels.
L'infirmier effectue des soins de nature préventive, curative ou palliative pour améliorer, maintenir et restaurer la santé. Il collabore avec toute l'équipe soignante et participe au projet global de soin. Tenu au secret professionnel, il assure avec l'aide-soignant les soins d'hygiène, de confort et de sécurité du patient.
Sur prescription
La prescription médicale est le seul lien hiérarchique entre le médecin et l'infirmier. C'est-à-dire que l'infirmier n'intervient que sur ordre et avec l'accord du médecin. En aucune façon, il ne peut définir lui-même un traitement pour le patient. En revanche, il est chargé de surveiller les éventuels effets secondaires ou complications.
Gestion administrative
Surveillance des équipements, gestion des stocks de médicaments et des dossiers... autant de tâches dont l'infirmier doit s'acquitter. Il établit aussi les plannings de soins en fonction des prescriptions médicales. Par ailleurs, il peut organiser des rendez-vous auprès d'autres services (en radiologie, par exemple). Ou s'occuper des formalités d'admission des patients et rédiger les comptes rendus des visites du médecin dans le cahier des soins.
Au sein de l'hôpital, l'infirmier est un maillon important de l'équipe médicale, car il a aussi une fonction d'observation et de dialogue avec le patient. Il recueille des informations pour une prise en charge adaptée. Cela lui permet d'être à l'écoute, de rencontrer les familles, d'assurer un accompagnement et un soutien psychologique.
Une santé de fer
Un bon équilibre et une grande résistance physique sont indispensables. Par ailleurs, la capacité à s'organiser et à analyser rapidement une situation sont des atouts pour s'épanouir dans ce métier. Sur le plan psychologique, la maturité et la capacité à prendre du recul permettent de côtoyer la maladie et la mort en se préservant le mieux possible sur le plan personnel.
Une vigilance élevée
L'infirmier doit savoir interpeller le médecin lorsqu'il identifie une anomalie ou une prescription atypique, afin d'en obtenir confirmation. Cela constitue une des difficultés majeures de la profession. Il doit être en mesure de comprendre chaque prescription pour en déterminer les risques et les surveillances. Ce diagnostic infirmier est complémentaire du diagnostic médical et ne s'y substitue en aucune manière.
Pour exercer ce métier, il faut obtenir le diplôme d'État d'infirmier, délivré par les Isi (instituts de formation aux soins infirmiers).Le diplôme d'État est désormais reconnu au niveau bac + 3. Les auxiliaires de puériculture et les aides-soignants justifiant de 3 ans d'expérience peuvent se présenter à un examen d'admission spécifique et bénéficier d'une dispense de certaines unités de formation.
Nature du travail
Prévenir, guérir et soulagerL'infirmier effectue des soins de nature préventive, curative ou palliative pour améliorer, maintenir et restaurer la santé. Il collabore avec toute l'équipe soignante et participe au projet global de soin. Tenu au secret professionnel, il assure avec l'aide-soignant les soins d'hygiène, de confort et de sécurité du patient.
Sur prescription
La prescription médicale est le seul lien hiérarchique entre le médecin et l'infirmier. C'est-à-dire que l'infirmier n'intervient que sur ordre et avec l'accord du médecin. En aucune façon, il ne peut définir lui-même un traitement pour le patient. En revanche, il est chargé de surveiller les éventuels effets secondaires ou complications.
Gestion administrative
Surveillance des équipements, gestion des stocks de médicaments et des dossiers... autant de tâches dont l'infirmier doit s'acquitter. Il établit aussi les plannings de soins en fonction des prescriptions médicales. Par ailleurs, il peut organiser des rendez-vous auprès d'autres services (en radiologie, par exemple). Ou s'occuper des formalités d'admission des patients et rédiger les comptes rendus des visites du médecin dans le cahier des soins.
Compétences requises
Le sens du dialogueAu sein de l'hôpital, l'infirmier est un maillon important de l'équipe médicale, car il a aussi une fonction d'observation et de dialogue avec le patient. Il recueille des informations pour une prise en charge adaptée. Cela lui permet d'être à l'écoute, de rencontrer les familles, d'assurer un accompagnement et un soutien psychologique.
Une santé de fer
Un bon équilibre et une grande résistance physique sont indispensables. Par ailleurs, la capacité à s'organiser et à analyser rapidement une situation sont des atouts pour s'épanouir dans ce métier. Sur le plan psychologique, la maturité et la capacité à prendre du recul permettent de côtoyer la maladie et la mort en se préservant le mieux possible sur le plan personnel.
Une vigilance élevée
L'infirmier doit savoir interpeller le médecin lorsqu'il identifie une anomalie ou une prescription atypique, afin d'en obtenir confirmation. Cela constitue une des difficultés majeures de la profession. Il doit être en mesure de comprendre chaque prescription pour en déterminer les risques et les surveillances. Ce diagnostic infirmier est complémentaire du diagnostic médical et ne s'y substitue en aucune manière.
Pour exercer ce métier, il faut obtenir le diplôme d'État d'infirmier, délivré par les Isi (instituts de formation aux soins infirmiers).Le diplôme d'État est désormais reconnu au niveau bac + 3. Les auxiliaires de puériculture et les aides-soignants justifiant de 3 ans d'expérience peuvent se présenter à un examen d'admission spécifique et bénéficier d'une dispense de certaines unités de formation.
- Niveau d'accès : bac + 3
- Salaire débutant
: 1551 €
- Statut(s) : Statut fonctionnaire, Libéral, Statut salarié
- Métiers Associés : Infirmier(ère) anesthésiste,
Infirmier(ère) de bloc opératoire,
Infirmier(ère)-puériculteur(trice)
Fiches métiers d'une animatrice
Pauvreté, solitude, maladie, exclusion… Trop de personnes sont aujourd'hui laissées à l'écart du fait de leur âge, de leur état de santé ou de leurs conditions de vie.
C'est pour briser cet isolement tant moral que matériel que, depuis plus de 60 ans, les petits frères des Pauvres s'engagent au côté des plus faibles au travers de leurs 3 missions principales :
Accompagner Accueillir, visiter, organiser des animations collectives, des réveillons de Noël, des vacances, aider matériellement, protéger, héberger, loger… Autant d'actions qui permettent aux personnes âgées de recréer du lien avec leur entourage.
Agir collectivement Favoriser l'engagement des citoyens, soutenir les entourages, faire naître des vocations, former des bénévoles… En un mot : agir ensemble pour rendre notre société plus fraternelle.
Témoigner, alerter Se souvenir, raconter, comprendre et alerter… Notre rôle de relais de la parole des personnes que nous accueillons est primordial pour sensibiliser l'opinion et faire évoluer les mentalités.
Face au vieillissement annoncé de la population, à l'aggravation de la précarité et au risque de repli sur soi de nos sociétés, le combat des petits frères des Pauvres est plus que jamais d'actualité !
C'est pour briser cet isolement tant moral que matériel que, depuis plus de 60 ans, les petits frères des Pauvres s'engagent au côté des plus faibles au travers de leurs 3 missions principales :
Accompagner Accueillir, visiter, organiser des animations collectives, des réveillons de Noël, des vacances, aider matériellement, protéger, héberger, loger… Autant d'actions qui permettent aux personnes âgées de recréer du lien avec leur entourage.
Agir collectivement Favoriser l'engagement des citoyens, soutenir les entourages, faire naître des vocations, former des bénévoles… En un mot : agir ensemble pour rendre notre société plus fraternelle.
Témoigner, alerter Se souvenir, raconter, comprendre et alerter… Notre rôle de relais de la parole des personnes que nous accueillons est primordial pour sensibiliser l'opinion et faire évoluer les mentalités.
Face au vieillissement annoncé de la population, à l'aggravation de la précarité et au risque de repli sur soi de nos sociétés, le combat des petits frères des Pauvres est plus que jamais d'actualité !
Fiches métiers d'une aide soignante
aide-soignant(e)
Parmi le personnel de santé, l'aide-soignant est sans doute le plus proche des personnes hospitalisées. Il assure l'hygiène et le confort des patients. Il apporte aussi son soutien aux personnes dépendantes pour toutes les tâches de la vie quotidienne, à domicile ou en centres d'accueil.
Sous la responsabilité de l'infirmier, l'aide-soignant s'occupe de l'hygiène et veille au confort physique et moral des malades. Au quotidien, il aide les patients à effectuer leur toilette et à s'habiller. Certains malades doivent rester à jeun avant une opération, d'autres suivent un régime particulier. Il vérifie donc les consignes avant de préparer les chariots de repas.
Un accompagnant
L'aide-soignant accompagne dans leurs déplacements les personnes privées d'autonomie. Il les aide à s'asseoir, à se nourrir, à sortir de leur lit. Son travail s'étend à certaines tâches d'entretien comme le changement de la literie et du linge, ainsi que le nettoyage et le rangement des chambres et des espaces de vie.
Des soins limités
Contrairement à l'infirmier, l'aide-soignant ne donne pas de médicaments et n'effectue pas de soins médicaux. Installer une perfusion ou prendre la tension d'un malade ne rentre pas dans ses attributions. En revanche, il participe à d'autres soins. Par exemple, la prise de température des patients, la surveillance d'une courbe de poids ou certains changements de pansements.
Le travail d'aide-soignant requiert résistance, force physique et délicatesse. Pour aider un malade à se repositionner dans son lit, pour l'aider à se lever ou à se déplacer, lorsqu'il est très affaibli ou sous perfusion, par exemple.
Communiquer et écouter
Trouver les mots justes pour apaiser un malade angoissé avant une intervention chirurgicale, pour persuader un enfant de s'alimenter ou pour informer ses collègues… la capacité à communiquer de l'aide-soignant est primordiale. Sans oublier une bonne dose de patience, de tact et un certain sens de l'écoute.
Le diplôme d'État d'aide-soignant se prépare en un an, au sein d'écoles spécialisées.Le concours d'entrée à ces écoles est accessible sans diplôme préalable. Néanmoins, les candidats déjà titulaires d'un diplôme de niveau bac, ou ayant suivi une 1re année d'études d'infirmier, et n'ayant pas été admis en 2e année, peuvent être dispensés des épreuves écrites d'admissibilité.
Après la 3e
L'aide-soignant sait se rendre disponible et faire preuve d'initiative tout en s'impliquant dans un travail d'équipe. Souvent confronté à des personnes en souffrance, il doit aussi être doté d'un solide équilibre psychologique.
Smic.
Le métier compte 320 000 professionnels. Il est accessible aux garçons comme aux filles. Chaque année, 10 000 postes se libèrent en France. Les perspectives d'emploi sont favorables. Les débouchés dans les hôpitaux restent importants, et l'allongement de la durée de la vie devrait créer de nouvelles opportunités dans les centres accueillant des personnes dépendantes.
Évoluer grâce aux concours
Après 3 ans d'exercice dans le secteur hospitalier ou médico-social, un aide-soignant peut se présenter à l'examen d'admission aux écoles d'infirmiers et être dispensé de certaines unités d'enseignement. Par ailleurs, les titulaires du diplôme d'État sont dispensés d'une partie de la formation d'auxiliaire de puériculture s'ils envisagent de préparer ce diplôme. Certains concours de la fonction publique (ceux des hôpitaux des armées ou de la préfecture de police) sont également accessibles.
Nature du travail
Un assistantSous la responsabilité de l'infirmier, l'aide-soignant s'occupe de l'hygiène et veille au confort physique et moral des malades. Au quotidien, il aide les patients à effectuer leur toilette et à s'habiller. Certains malades doivent rester à jeun avant une opération, d'autres suivent un régime particulier. Il vérifie donc les consignes avant de préparer les chariots de repas.
Un accompagnant
L'aide-soignant accompagne dans leurs déplacements les personnes privées d'autonomie. Il les aide à s'asseoir, à se nourrir, à sortir de leur lit. Son travail s'étend à certaines tâches d'entretien comme le changement de la literie et du linge, ainsi que le nettoyage et le rangement des chambres et des espaces de vie.
Des soins limités
Contrairement à l'infirmier, l'aide-soignant ne donne pas de médicaments et n'effectue pas de soins médicaux. Installer une perfusion ou prendre la tension d'un malade ne rentre pas dans ses attributions. En revanche, il participe à d'autres soins. Par exemple, la prise de température des patients, la surveillance d'une courbe de poids ou certains changements de pansements.
Compétences requises
Aider physiquement le patientLe travail d'aide-soignant requiert résistance, force physique et délicatesse. Pour aider un malade à se repositionner dans son lit, pour l'aider à se lever ou à se déplacer, lorsqu'il est très affaibli ou sous perfusion, par exemple.
Communiquer et écouter
Trouver les mots justes pour apaiser un malade angoissé avant une intervention chirurgicale, pour persuader un enfant de s'alimenter ou pour informer ses collègues… la capacité à communiquer de l'aide-soignant est primordiale. Sans oublier une bonne dose de patience, de tact et un certain sens de l'écoute.
Le diplôme d'État d'aide-soignant se prépare en un an, au sein d'écoles spécialisées.Le concours d'entrée à ces écoles est accessible sans diplôme préalable. Néanmoins, les candidats déjà titulaires d'un diplôme de niveau bac, ou ayant suivi une 1re année d'études d'infirmier, et n'ayant pas été admis en 2e année, peuvent être dispensés des épreuves écrites d'admissibilité.
Après la 3e
- Diplôme d'État d'aide-soignant
- Bac pro accompagnement, soins et services à la personne option à domicile ou en structure
L'aide-soignant sait se rendre disponible et faire preuve d'initiative tout en s'impliquant dans un travail d'équipe. Souvent confronté à des personnes en souffrance, il doit aussi être doté d'un solide équilibre psychologique.
Salaire
Salaire du débutantSmic.
Intégrer le marché du travail
Des perspectives favorablesLe métier compte 320 000 professionnels. Il est accessible aux garçons comme aux filles. Chaque année, 10 000 postes se libèrent en France. Les perspectives d'emploi sont favorables. Les débouchés dans les hôpitaux restent importants, et l'allongement de la durée de la vie devrait créer de nouvelles opportunités dans les centres accueillant des personnes dépendantes.
Évoluer grâce aux concours
Après 3 ans d'exercice dans le secteur hospitalier ou médico-social, un aide-soignant peut se présenter à l'examen d'admission aux écoles d'infirmiers et être dispensé de certaines unités d'enseignement. Par ailleurs, les titulaires du diplôme d'État sont dispensés d'une partie de la formation d'auxiliaire de puériculture s'ils envisagent de préparer ce diplôme. Certains concours de la fonction publique (ceux des hôpitaux des armées ou de la préfecture de police) sont également accessibles.
Diplôme d'Etat d'aide-soignant
- Ministère(s) de Tutelle ministère chargé de la Santé
- Nature du diplôme diplôme national ou diplôme d'Etat
- Durée de la formation 1 an
- Niveau terminal d'études CAP ou équivalent
lundi 9 janvier 2012
Visite au commissariat
Nous sommes allées à l'hôtel de police,où nous avons étaient accueillis par le Major Branchat .En premier, nous avons visitez les cellules des détenus qui se trouve au rez-de-chaussée . Après les avoir visitées nous sommes montés au 3° étages où nous avons étaient guider dans le stand de tir .Une fois sur place on nous à expliquer que chaque agent de police devaient effectuer au moins 3 tirs par ans. Et lorsque ils étaient sur le terrain ils n'avaient pas le droit de tirer avec leurs armes tant que ont ne leurs avaient pas tirer dessus .Ensuite nous sommes allées dans la salle de sport où s'entrainent les agents de police.Ils ont à leurs disposition des machines des machines de musculation et de fitness. Puis nous sommes descendus centre de commandement d'où provient les appels d'urgence et d'où tout les images des 23 caméras de la ville sont retransmis .Et pour finir nous avons étaient accueillis par un agent de la police scientifique .Il nous à montrer comment relever des empreintes .
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